SYNOPSIS : le quotidien de la famille Fisher, dont la particularité est de détenir une société de pompes funèbres à Los Angeles, Fisher & Sons, fondée par le père de famille Nathaniel Fisher. À sa mort (lors de l’épisode-pilote) ses deux fils, Nate et David se retrouve face à l'entreprise familiale dont ils viennent d'hériter ; Ruth la mère, désormais veuve, se confronte à son nouveau statut de femme libre. Claire, la cadette un peu paumée, s'éfforce de trouver sa voie. À chacun d'entendre ce qu'il est, de le canaliser, de l'assumer, de l'exprimer et de tracer sa route.
Chaque épisode commence par une mort, défunt qui deviendra client de la société des pompes funèbres Fisher.
La série aborde de nombreux tabous : sexe, homosexualité, adultère, drogue, introspection. La réflexion sur la mort est permanente, et la série n'hésite pas à aborder des sujets durs, voir dérangeants.

Six Feet Under m’a marqué pour ça, cette intégrité scénaristique qui n’épargne pas grand-chose au spectateur, sans jamais sombrer dans la violence visuelle racoleuse. Une série avec des personnages humains, une vrai fin et 5 saisons qui apportent finalement autant de questions que de réponses mais avec au centre cette même réflexion existentielle et essentielle : un jour ce sera votre tour, en attendant vous faites quoi pour ne pas y penser ?
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