Les sentiments t’entourent, ça t’enveloppe, sur les contours de tes époques.
Ca suit ton corps traçant des volutes, ça se dispute sans équivoque
La meilleure place de ton coeur
Y’a même des liens, regardes les bien, autour de tes mains
Serrés des milles nœuds marins
Que tu ne sens pas toujours au premier abord mais qui serreront ce cœur au détour d’un port.
Y’a pas toujours de place pour tout ce qui se souffle à ton oreille alors ça s’accroche en boucle et hante parfois ton sommeil.
Y’a des nuits couleur charbon et des jours sans bruit, des déjà vu comme comparaison, des ponts et des cachettes sur pilotis.
Toutes ces sensations ses sentiments ça éblouit, jamais apprivoisés ils restent un endroit pour les réfugiés.
Pour tout les pas sages de passage, les éreintés du voyage, les enfants sauvages même les écorchés.
Ca reste un phare, un grand phare, fort de ces grandes tempêtes qui s’entêtent dans toutes nos têtes…
Et inlassablement nous repetent que
Nos sentiments éclairent nos corps, éclairent nos cœurs
Jusqu'à la mort.