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« C’est la radio qui m’a apprit la mort de Billy The Kid
(Un jour d’été brûlant, un jour avec des oiseaux dans le ciel)
Imaginons une frontière – un poème où quelqu’un pourrait se cacher avec la troupe d’un sheriff à sa poursuite – à mille kilomètres s’il faut qu’il fasse mille kilomètres – un poème sans tournants brusques, ni maisons pour si perdre, sans la trame magique ordinaire, sans Juifs new-yorkais marchand de pyjamas améthyste, rien qu’un endroit ou Billy pourrait se cacher et tirer sur les gens.
Jardins des supplice ou montagnes russes – C’est la radio
Qui m’a apprit la mort de Billy The Kid »
- Extrait du livre de Jack Spicer, Billy The Kid -
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