Tu vois comme quoi, on grandit, on finit par s’en sortir de ces petits corps d’adolescents meurtris.
Enfin tu grinces des dents toi oui, tu te débarrasses plus des tes peaux mortes, elles te collent aux bask’ comme c’est pas permis, allez arrache toi donc de cette chrysalide qui t’emprisonne, cette image de toi qui t’empoisonne jette-là par-dessus l’océan qui trotte dans ta tête depuis si longtemps.
Ne viens plus me voir pour me demander de te faire hara kiri, parce que ces choses là ça suffit, je n’ris plus moi je t’assure, j’avance ça j’en suis sur, mais j’prend bien les virages en lacet.
Là où mes doutes et mes peurs sont enlacés.
Mais bon les tempêtes avec toi à présent c’est passé, ma mer est calme alors j’rame tranquille vers un nouveau monde.
J’tiens ma vie comme une fronde.
Un peu comme tout le monde.
Notre futur à tous c’est le fil du rasoir, moi j’veux des arbres, des branches, des balançoires. J’penche pour le coté du dérisoire parce que j’veux d’la vie, pas du temps.
J’fais de la revolution à la seconde.
J’veux juste qu’on avance dans le présent. A l’instinct à l’instant à l’aveuglette en galipettes
Le fil d’Ariane cousu en chaussette.
Depuis combien de temps déjà
RépondreSupprimertu t'es mis au tricotage ?
Passent les gens et les âges,
tu tisses, tu lisses ton toît.
J'aime tant tes couleurs..
c'est parce que j'ai envie de collant pour l'printemps ;D
RépondreSupprimerWow, j'aime, j'aime !. Et je suis jaloux de tes 5 dernières phrases.
RépondreSupprimerJ'attends tes prochaines notes !(oui, oui, j'veux te foutre la pression ! ^^)
Bises :)
aie aie aie va falloir que j'carbure alors :D
RépondreSupprimerA moi clavier, souris z'et fichier word! ;D