J’t’ai observé minutieusement, dans les moindres contours de ton mépris et j’ai compris cette limite qui nous sépare.
Cette intolérance qui t’envahi et t’égare.
Y’a comme un gouffre entre nous sans pont ni passerelle de ton coté, au fond juste ce ruisseau de ta haine dans lequel moi, je me casse les dents à chaque fois que je tente l’enjambée.
Ca m’fait flipper.
L’intolérance, cette triste engeance.
Ton arme, ton armure et ton armée de fidèles à tes cotés.
Maintenant seulement je te laisse sur le bord de ma route. Elle te déroute ma différence, j’ai bien compris qu’elle n’avait rien à t’apporter.
Alors j’t’aime un peu mais pas trop, juste que tu me rappelles à la réalité, qu’après toi y’en aura d’autres et qu' j’aurai moins mal de la bétise. Le manque de respect tu sais je l’exorcise.
Alors tu peux te fatiguer.
Mais tu t'enfermes, toi dans la belle cage que tu te créer.
J’espère que tu y trouveras enfin quelque chose à aimer.
Cette intolérance qui t’envahi et t’égare.
Y’a comme un gouffre entre nous sans pont ni passerelle de ton coté, au fond juste ce ruisseau de ta haine dans lequel moi, je me casse les dents à chaque fois que je tente l’enjambée.
Ca m’fait flipper.
L’intolérance, cette triste engeance.
Ton arme, ton armure et ton armée de fidèles à tes cotés.
Maintenant seulement je te laisse sur le bord de ma route. Elle te déroute ma différence, j’ai bien compris qu’elle n’avait rien à t’apporter.
Alors j’t’aime un peu mais pas trop, juste que tu me rappelles à la réalité, qu’après toi y’en aura d’autres et qu' j’aurai moins mal de la bétise. Le manque de respect tu sais je l’exorcise.
Alors tu peux te fatiguer.
Mais tu t'enfermes, toi dans la belle cage que tu te créer.
J’espère que tu y trouveras enfin quelque chose à aimer.