27 juillet 2006
24 juillet 2006
Lignes d' horizons
C’est une très longue ligne directrice, une courbe qui se prolonge, le fil d’un songe. C’est une ligne souple qui s’allonge, une corde dont le bout s’est contorsionnée, s’élève ou plonge avant d’être nouée. Ce sont les marquages en pointillés d’une route en lacet.
Ce sont toutes nos avancées et tout nos arrêts (toutes nos pensées, tout nos regrets)
Ce peut être lui.
Ce peut être nous.
Celui qui se suis ou bien ceux qui s’avouent. Je veux dire Moi et Toi, mais je te laisse le choix.
Il y a une infinie richesse à chercher des directions, des sens pour couper ces cordons. Il y a une simple détresse à s’attacher autant à certaines relations.
En ce moment l’idéal se prête à confusion pendant que l’inégal recolte l’aversion. Au fil de nos erreurs pourtant, se fissurent se défont nos chaînons.
L’instant présent est à l’abandon. En longueur alors, tout s’emmêle pêle-mêle entre anges et démons.
Trop de ficelles qui s’emmêlent, des pieds jusqu'à nos têtes, nous propre-marionettes.
C’est une ligne dans une main, comme une trace de destin, ou une ligne oubliée d’un récit du passé. Elle peut être n’importe quelle sorte, n’importe quelle escorte,
Ce peut être une vie (ou un message inachevé).
Une continuité de point à relier.

Ce sont toutes nos avancées et tout nos arrêts (toutes nos pensées, tout nos regrets)
Ce peut être lui.
Ce peut être nous.
Celui qui se suis ou bien ceux qui s’avouent. Je veux dire Moi et Toi, mais je te laisse le choix.
Il y a une infinie richesse à chercher des directions, des sens pour couper ces cordons. Il y a une simple détresse à s’attacher autant à certaines relations.
En ce moment l’idéal se prête à confusion pendant que l’inégal recolte l’aversion. Au fil de nos erreurs pourtant, se fissurent se défont nos chaînons.
L’instant présent est à l’abandon. En longueur alors, tout s’emmêle pêle-mêle entre anges et démons.
Trop de ficelles qui s’emmêlent, des pieds jusqu'à nos têtes, nous propre-marionettes.
C’est une ligne dans une main, comme une trace de destin, ou une ligne oubliée d’un récit du passé. Elle peut être n’importe quelle sorte, n’importe quelle escorte,
Ce peut être une vie (ou un message inachevé).
Une continuité de point à relier.

© Ilan Amihai
18 juillet 2006
HEY KID
*
« C’est la radio qui m’a apprit la mort de Billy The Kid
(Un jour d’été brûlant, un jour avec des oiseaux dans le ciel)
Imaginons une frontière – un poème où quelqu’un pourrait se cacher avec la troupe d’un sheriff à sa poursuite – à mille kilomètres s’il faut qu’il fasse mille kilomètres – un poème sans tournants brusques, ni maisons pour si perdre, sans la trame magique ordinaire, sans Juifs new-yorkais marchand de pyjamas améthyste, rien qu’un endroit ou Billy pourrait se cacher et tirer sur les gens.
Jardins des supplice ou montagnes russes – C’est la radio
Qui m’a apprit la mort de Billy The Kid »
- Extrait du livre de Jack Spicer, Billy The Kid -
15 juillet 2006
4 juillet 2006
Pieds Nus
Les lacets s’entortillent autour de sa cheville et le retiennent, ils disent « ne marches pas sur les braises » et il ne les écoute pas. Ils disent « ne t’éloignes pas », il ne les écoute plus. Le soleil parle aussi il dit « je te ferai fondre » mais lui est loin d’être un glaçon, même avec toute ces voix à ses talons.
Alors il interroge son âme qui répond « tu es tout et rien à la fois, cours et tu te rattrapera ». Finalement il se dit à lui-même « mon corps me sert à expérimenter la matière ». Maintenant il sait qu’il est un morceau de la clef du monde.
Sur l’escalier de l’invisible, il remarque : trois marches à grimper en premier, huit à l’arrivée. En haut la porte parle enfin et conclue « je ne m’ouvrirai qu’une fois tout ceux qui le veulent arrivés, alors … prend le temps qu’il te faudra pour évoluer ».
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