Que le temps s'écoule et circule à la seconde ne nous touche pas. Que les heures s'immiscent ou s'égrènent à la longue à l'intérieur de toi ne te touche pas.
Ne me touches pas toi l'aiguille temporelle qui voudrai que je redescende jusque dans tes méandres existentiels je ne bougerai pas. Alors, que le bout de vos ondes nous encerclent, qu'elles se pressent sur nos tombes et referment le couvercle, je resterai là.
Parce que l'instant s'est arrêté à ça, le temps n'a plus d'importance et s'écroule sous nos pas. Comme dans un songe.
Ne me touches pas toi l'aiguille temporelle qui voudrai que je redescende jusque dans tes méandres existentiels je ne bougerai pas. Alors, que le bout de vos ondes nous encerclent, qu'elles se pressent sur nos tombes et referment le couvercle, je resterai là.
Parce que l'instant s'est arrêté à ça, le temps n'a plus d'importance et s'écroule sous nos pas. Comme dans un songe.
Assis à coté de toi je regarde le monde s'agiter, frôler l'hécatombe et se relever, en douceur mal dosé, attendant le coma pour toucher la réalité du doigt.
© Christian Richet